Projet Arts Plastiques

Sur le thème du Street art et inspiré du travail de Romain Froquet

Janvier -Février 2016


Projet mené par Julie Vitowsky

Professeur à l'école d'Arts plastiques du Grand Narbonne

STREET ART 1

Street Art Projet visant à valoriser et mettre en lumière le travail des élèves internes du collège Victor Hugo de Narbonne.

Réalisation d'une fresque Street Art d'après le travail de Romain Froquet .

Chaque élève travaillera sur un panneau de bois qui seront assemblés pour une fresque d'environ 150 cm x 140 cm.

Le projet se composera:

1-d'un petit cours sur le Street Art et sur le travail de l'artiste

2- d'une démonstration

3- d'une concertation pour déterminer l' harmonie colorée

4- d'un travail de composition au brouillon

5- de récupération de papier pour l'intégrer à la production

6- de la réalisation

7- de l'assemblage et la fixation des supports 

Projet pour 20 élèves : 10 panneaux de format carré au dimension de 30cmX30cm

10 panneaux de format rectangle au dimension de 30cmX40cm

Petit matériels et outillages: 20 pinceaux plat ou spalter avec pots pour la préparation et le mélange des peintures Ciseaux Peinture acrylique (couleurs à définir) environ 5litres Récupération de papier Colle vinylique 1litre Vernis si exposé à l'extérieur Feuille papier machine pour exquise du projet 3 rouleaux de Scotch de masquage

Inspiration oeuvre de Romain Froquet Montpellier

Romain Froquet, né en 1982 à Villeurbanne, vit et travaille à Paris. Il s’est révélé artistiquement dans le collectif 9e Concept qu’il intègre dès 2000.

Influencées par l’art tribal africain, ses créations s’inspirent également de l’art sud-américain.

Pour en savoir plus sur Romain Froquet, allez sur son site http://romainfroquet.fr

Le 23 mars et le 13 avril, M. Ferry, professeur d'SVT au collège et passionné de photo anime un atelier sténopé pour les élèves internes du collège.

QU'EST-CE QUE LE STÉNOPÉ?

Le sténopé est un dispositif optique simplissime permettant d'obtenir un appareil photographique dérivé de la camera obscura (chambre noire). Il s'agit d'un simple trou de très faible diamètre. Par extension, on appelle ainsi l'appareil photographique utilisant un tel dispositif.

Un appareil photographique à sténopé se présente sous la forme d’une boîte dont l’une des faces est percée d’un minuscule trou qui laisse entrer la lumière. Sur la surface opposée au trou vient se former l'image inversée de la réalité extérieure, que l'on peut capturer sur un support photosensible (tel que du papier photographique). Pour faire simple, on peut dire que le sténopé fonctionne de la même façon que l'œil, il capture des images inversées du visible.

Du fait de la petitesse de l’orifice permettant à la lumière de pénétrer à l’intérieur de l’appareil et de l'absence de focalisation, le temps nécessaire pour impressionner la surface photosensible est très long. Selon la taille de l’appareil et de l'ouverture, il peut se chiffrer en secondes ou en heures. Le trou du sténopé est minuscule, par conséquent, il permet une plus grande latitude d'exposition et offre une très grande profondeur de champs (presque à l'infini).

Pour en savoir plus ici

Voici à quoi peut ressembler un appareil photographique à sténopé !

Pour les résultats en photos, voir les prochains articles !

mercredi 16 : atelier rénovation sièges du foyer, finalisation projet street art
mercredi 23 : atelier Sténopé
mercredi 30 : visite de l'atelier d'Alexia Carmona (http://www.alexia-carmona.fr) dans le cadre du projet Mes tissages
mercredi 6 : visite et atelier à la galerie Blend'Art : préparation des fanions
mercredi 13 : atelier sténopé